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Tu chipotes... il y a déjà les mots Stradivarius, l’annee N’est qu’un détail et retour à notre autre discution sur les faux « d’origine »

Decidement Ifred on ne ce comprend pas , je disais 4as mais bien sur que je pensais crois ou 4 , mais pas une crois mal imitée n'y mal imprimée comme tu le faisait penser, mais simplement bien stylisé et de toute evidence pour resembler à un 4 .. Et bien oui sur un derasey cela fait bizarre de voir stradivarius 1745 car lui aussi devait savoir que stradivarius etait mort en 37. Là on ne peux pas parler de faux car il y a ca marque au fer " J dessin violon D " le tout dans un oval

Ah ok quand tu m'as répondu " je pensais plutôt a une étiquette de pattes lustucru mal traduite en gaelique et vue a l'envers par transparence de trois quart ; mais je peux me tromper".. Cela voulait dire que tu pensais que c'était une croix.. pour moi en effet ce n'était pas très clair..

je ne comprends pas le "mais" et le "????" quand tu écris: "PS . Tarisio tidre le violon de 1875 mais l'etiquette dit 1745 ????? "

Peux tu préciser ta pensée? et Quand tu écris "on ne peux pas parler de faux car il y a une maf de Derazey", tu parles de faux quoi ?

LionelB a écrit : ↑jeu. 6 juin 2019 22:22 Tu chipotes... il y a déjà les mots Stradivarius,

La retranscription " Stradiuarius " est correcte avec un V en forme de U
La retranscription "Cremonensis" est incorrecte elle devrait être ""Cremonenfis"

Explication:
le u/v est un vestige de la typo médiévale ou il existait deux formes de V à utiliser distinctement en fonction de l'emplacement de la lettre dans le mots... à l'époque de Strad c'est n'est plus une syntaxe utilisée depuis une centaine d'année (à vérifier si ce n'est pas 200), c'est donc en toute vraisemblance une forme de "stylisation".

Pour le S en forme de "f" 'sans barre" , c'est encore autre chose cela indique un s long un peu comme le B en allemand.. Cet emploi est contemporain à Strad mais disparaît à la fin des années 17xx.

J'ai retrouvé la même étiquette sur un violon de série de Mirecourt des année 1860. qui n'a rien à voir avec Derazey ou nicolas ainé
preuve est il s'il en fallait que l'on identifie pas les instruments sur les étiquettes

Et une de plus.. sur un violon de série de début 1900 là encore rien a voir avec Derazey ou nicolas ainé

J'ai lu l' "enquête" avec un certain plaisir. Pas sûr d'avoir compris toutes les interventions, mais j'ai au moins saisi - enfin, je crois - la conclusion : rien ne sert de s'intéresser à l'étiquette, elle n'indique pas grand chose.

Sans les images du débutje pense que c"était un peu difficile à suivre, la morale de l'histoire c'est surtout ne pas se fier aux étiquettes, ne pas imaginer que la connaissance d'un détail unique est individuellement significatif, ne pas faire de conclusion hâtive.

Oui, effectivement, l'absence d'images n'a pas aidé, sans compter parfois une certaine liberté avec la syntaxe ^^
En fait, j'imagine qu'authentifier un violon suppose d'avoir de solides connaissances en lutherie, tant sur le plan pratique (le métier, les techniques, etc.) que sur le plan culturel (l'histoire, les écoles, etc.)
En un sens, et paradoxalement peut-être, c'est plus le violon qui authentifie l'étiquette que l'inverse. Non ?

Oui sûrement pour partie

"Non ?"
Non je dirais les deux, cela fonctionne dans les deux sens.
Tu as un ensemble d'éléments qui peuvent être faux , ou pas, contradictoire ou pas.
la synthèse globale te donne l'avis d'expertise. Sachant que ce n'est jamais qu'un avis.

"L'avis d'expertise [...] n'est jamais qu'un avis"
Quelle valeur accorder alors à l'authentification d'un violon ?
Dans mon cas par exemple, puis-je être sûr que mon instrument est bien un Klotz. Mon luthier l'avait authentifié (M.Rouveyre, à Lyon) mais quelle part d'incertitude se cache derrière cet avis ?

La valeur est celle de la responsabilité de l'avis (s'il s'agit d'un contrat (avis) écrit).

D'accord. Merci IFred.