Publié : ven. 12 nov. 2004 22:28
bonsoir Julslag
Pour autant que j'ai bien compris la vie de ce grand violoniste, il a commencer très jeune, car à 3 ans, il avait eut, lors d'un concert un choc esthétique en écoutant un passage de violon solo...
On parle beaucoups de sa précosité. Mais en fait, il avait une qualité digne des école Suzuki : il avait une précision d'imitation à faire frémir et il a appris le violon quasiment à l'instinct, guidé par le violon solo de l'orchestre de San francisco. Il a au court de sa vie rencontrer un violoniste vieillissant (son nom m'échappe, mais je le retrouverais) qui lui reprocha le fait de ne pas "savoir ses gammes". Et oui : il jouait tellement d'instinct que la "technique" et sa rigueur lui étaient passé sous le nez !
Il avait donc un jeu chaleureux, sentimentale, profond... avec des défauts... le public ne s'est jamais trompé : il était un messager... pas un technicien.
Pour autant que j'ai bien compris la vie de ce grand violoniste, il a commencer très jeune, car à 3 ans, il avait eut, lors d'un concert un choc esthétique en écoutant un passage de violon solo...
On parle beaucoups de sa précosité. Mais en fait, il avait une qualité digne des école Suzuki : il avait une précision d'imitation à faire frémir et il a appris le violon quasiment à l'instinct, guidé par le violon solo de l'orchestre de San francisco. Il a au court de sa vie rencontrer un violoniste vieillissant (son nom m'échappe, mais je le retrouverais) qui lui reprocha le fait de ne pas "savoir ses gammes". Et oui : il jouait tellement d'instinct que la "technique" et sa rigueur lui étaient passé sous le nez !
Il avait donc un jeu chaleureux, sentimentale, profond... avec des défauts... le public ne s'est jamais trompé : il était un messager... pas un technicien.