jépadçon a écrit :Je me demande, IFred, si tu ne tombes pas dans l'erreur, tres courante chez les luthiers, de penser que tous les violons neufs se valent (et donc que seul le marketing fait la différence entre les différents luthiers), ce serait , pour moi, la même chose que penser que tous les violons anciens se valent.
Mes observations sont totalement indépendantes de la nature du bien, pas plus que je ne suggère que que les qualité de l'instrument ne joue aucun rôle.
Néanmoins Je ne pense pas qu'un acheteur puise baser son achat sur une évaluation purement rationnel bas" au mérite d'un bien.
Quant à chercher à vouloir trouver des différences entre instrument ancien ou moderne, la différence ne me semble pas intrinsèque mais comportementale et je ne sais l'expliqué. Je constate que chez les personnes qui essaient d'avoir une vision rationalisé si l'on on observe facilement certain joueur essayer des centaines de violons anciens, c'est quelque chose de rarissime pour les recherche de moderne, (essayer au sens essayer dans le cadre de la recherche d'un achat, pas juste passer un coup d'archet pour faire plaisir).
En fait je n'ai jamais vue de musiciens chercher à essayé des centaines d'instruments modernes (dans une démarche d'achat), pour prendre une décision, tout au plus une douzaine, et le plus souvent mois de cinq leur esprit étant fixé sur une short liste.
Ps:
"La fabrication d'un instrument de musique n' a rien à voir avec la production en chaîne de produits industriels, ça me semble évident."
Il n'a jamais été question de la fabrication mais des mécanismes d’appréciations des prix par les consommateurs.
on achète pas un violon comme une bouteille d'huile d'olive ?
Je pense que "si" justement bouteille d'huile d'olive, voiture de sport, violon cela ne change pas tant de chose que cela vis à vis de ces mécanismes.