
Ils laissent le vernis brut sans polissage , sans tampon . On a l'impression que l'instrument attend un ponçage final. Il paraît que ce serait la mode actuelle ?
L'aspect granuleux de l'instrument fini me donne l'impression que s'il nous prenait l'envie de poser un doigt sur la table , celui-ci aurait du mal à se décoller .
Ces vernis bruts ne sont pas transparents et rendent les instruments sur lesquels ils sont posés peu attirant !
J'espère que cette méthode discutable n'est pas enseignée au lycée de Mirecourt ou dans les écoles de lutherie en général. Ce serait une véritable
régression de la lutherie française.
