C'est vrai qu'il ne faut pas en attendre des miracles !
Ca reste du moulage sans moule, forcément c'est limité : on prend une matière qui normalement se moule et on espère qu'elle solidifiera assez vite pour ne pas couler partout. Chapeau aux types qui se sont dit "Hey on fait ça pour les encres, ça doit marcher pour le reste !".
Pour une imprimante domestique, j'entends. A dépôt de matière. Le reste je ne connais pas. Les trucs à bain, par exemple. Ca ne doit pas être fabuleux pour les poumons, mais, bon, mettons.
Et puis, en ce qui me concerne, le matériau de base c'est de l'acide polylactique, je ne pense pas que ce soit une matière fabuleuse. Mes premières impressions étaient cassantes, ce n'était pas terrible. Mais depuis ça va mieux. J'ai troqué une imprimante sophistiquée contre une imprimante plus simple qui me convient mieux et que je peux bricoler plus facilement.
J'ai une bobine de PETG, j'essaierai un jour.
Et pourtant, avec tous ces caveats, il y a moyen de se faire très très plaisir.
Allez, c'est parti. J'ai commencé la modélisation :
Deux cylindres fusionnés ensemble, avec une facette d'accroche pour la tige carbone, et une ligne de crête de chaque côté. Un modificateur solidify et c'est déjà pas mal pour aujourd'hui, je ne suis pas modeleur, j'ai pas le manuel du logiciel dans la tête. Suite au prochain épisode.
Jouer 95% des notes, c'est déjà faire moins d'erreurs que bien des mesures scientifiques. De toute façon, chacun son rythme, on se retrouve au point d'orgue...