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Baroqueux a écrit : ↑lun. 19 déc. 2022 14:55 Oui, bon, je pense qu'il peut supporter 1/2h dans un air salin, non ?

Franchement je n'en sais rien,il existera un pb s'il y a condensation de l'air saturée dans le l'hygromètre = dépôt de sel sur l'ensemble des parties.
Si le principe de hygromètre est un fil d'acier a mémoire ( comme un ressort) et qu'il n'est pas en acier inoxydable a mon avis c'est mort.
Pour ne pas avoir condensation de l'air saturée il faut avoir égalité des températures avant pendant et après et en plus ventiler l'hygromètre après pour évacuer l'air saturée en sel . .

Baroqueux a écrit : ↑lun. 19 déc. 2022 14:55 Oui, bon, je pense qu'il peut supporter 1/2h dans un air salin, non ?

Avec mes petits hygromètre électroniques à pas cher, je ne m'y risquerait pas.
Mais je les ai comparés à un hygromètre étalonné de labo, ils sont OK.

Les "solutions salines" se font avec différents sels, pour obtenir différentes humidités de référence.

La méthode du point de rosée (thermomètre humide) est fiable.
(Je l'ai utilisée en pro pour de la surveillance de qualité de l'eau et de l'air de rivières... avant qu'il y ait les "boîtes magiques" qui mesurent en "tout en un"...)
et l'hygromètre à vérifier ne craint rien ...

Après 2:49 ici, on voit comment est utilisé un modèle "pro", à 2 thermomètres et un petit réservoir (là ils l'utilisent en tournant "en crécelle", sinon on tourne un peu comme une pendule assez rapidement)
https://www.youtube.com/watch?v=Id4R-2KT9jc
On peut avoir la même chose avec un seul thermomètre (donc 2 mesures), et du coton trempé dans l'eau du robinet, c'est juste un peu moins rapide...
Il faut aussi vérifier que le coton est toujours mouillé en fin de mesure ...

Alain44 a écrit : ↑lun. 19 déc. 2022 11:22 - ou faire la mesure "au thermomètre humide" pour déterminer le "point de rosée", puis avec table ou calculs, trouver l'humidité relative (mais ce n'est pas pour les allergiques à la physique ! j'ai des actions chez les fabricants d'aspirine ! ). Principe: on mesure la température normale, puis la tempérante d'évaporation en faisant tourner le thermomètre (un peu comme un pendule) qui a un coton imbibé d'eau sur le bulbe. (par ex: à 20°C et rosée à 9°C, ça donne 50% HR)
Ici le calcul est fait automatiquement !
https://www.deleze.name/marcel/physique ... rosee.html
C'était la minute de Jamy !

Mais il me semble que la température humide est située entre le point de rosée et la température sèche ? Sur un diagramme de Mollier, on peut effectivement déterminer l'HR à partir de la température sèche et la temp humide mais on détermine ensuite le point de rosée qui serait la température humide à 100% d'HR,, je crois du moins?? Je vais prendre deux aspirines...

eutectique a écrit : ↑lun. 19 déc. 2022 20:39 Mais il me semble que la température humide est située entre le point de rosée et la température sèche ? Sur un diagramme de Mollier, on peut effectivement déterminer l'HR à partir de la température sèche et la temp humide mais on détermine ensuite le point de rosée qui serait la température humide à 100% d'HR,, je crois du moins?? Je vais prendre deux aspirines...

Oui, on mesure la température humide (ambiante, à HR à trouver) et la température d'évaporation du coton imbibé (HR 100%).
On ne mesure pas la température "sèche" (HR=0), mais la température ambiante humide est bien entre la tsèche et la trosée.
C'est bien le diagramme de Mollier, ou son équivalent en équations (il y en a des simplifiées à 0,1°C près), qui permet de retrouver HR à partir de t(humide) et trosée°.

C'est un peu loin dans ma tête (quelques 40 ans ... ), mais je pense que c'est ça ...

Comme tu connais de diagramme de Mollier, tu n'as plus besoin d'aspirines !

NB: pour augmenter la consommation d'aspirine !
équation simplifiée suffisante: trosee=HR^(1/8).(112+0,9.t)+0,1.t-112
ça fait mal sur un forum d'artistes !!!

Ok merci pour les réponses !!
Je pense que c’est bien un problème du aux températures du coup…
Je vais essayer de le mettre dans une pièce ou c’est plus constant