à, j'émets plusieurs réserves :
1) le terme électro (il faudrait au moins distinguer musique électronique, musique concrète, musique mixte)
2) "le statut de vraie musique" est encore souvent sujet à discussion pour ne pas dire plus...
quel casse-nouille!

non, sérieusement, j'aime le débat quand il se corse!...
disons que pour notre discussion, j'entends par musique electonique tout ce qui passe (dans la performance) par l'utilisation de la machine comme "interprete" à part entière: il y a certes composition, mais on donne la possibilité à la machine d'intervenir dans l'execution de la partition, à travers une note, une sequence, voire tout le morceau... un truc, en gros, qui part de l'invention du sample dans les années 50 (Shaeffer, non?), passe par Cage et bifurque vers tout un tas de chemins plus ou moins divergeants.
Je sais que cette définition n'est pas satisfaisante en soi, mais c'est de cela, ici que je voulais parler...
Quand au statut de "vraie musique", bien sur que ça prête à confusion et discussion; ce que je voulais dire, c'est qu'une partie de la musique éléctronique (en particulier celle des pionniers) était reconnue par les institutions, les connaisseurs, les artistes, comme ayant une légitimité; donc, d'un certain point de vue (celui de la culture dominante et légintime), il y a une musique, basée sur l'utilisation de la machine, qui a obtenue son passe droit pourapparaitre dans les annales de l'histoire de la musique.
Encore une fois, c'est, en soi, une définition insatisfaisante de la "vraie" musique", mais c'est cela que j'évoquais...
a coup sur j'ai en core dit des co..eries!
