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isabelg a écrit :Bah, tu colles un rajout! J'en connais un qui colle des pièces rapportées sur les bords des tables de ses violoncelles...

Pardon, celui auquel je pensais n'était pas sur la table mais sur le fond!

jépadçon a écrit :Oui, on apelle ça un chanteau.

tiens, je vois que vous partagez ce terme avec la boulangerie! normal remarque, quand vous faites un instrument, vous avez du pain sur la planche!

Grand merci pour cette vidéo qui est pour moi assez émouvante car j'ai bien connu les ruelles du vieux Nice et les ateliers de lutherie de cette époque 1960.
Nice était bien lotie avec Pierre Gaggini,Silvio Tua,Charles Bovis (rue Masséna),Albert Blanchi était mort 20 ans plus tôt,son père Augustin,dont les instruments sont très estimés est décédé ern 1899. Tous ont laissé des instruments assez recherchés aujourd'hui.
Mais les violons "niçois" les plus côtés sont sans doute ceux de Nicolo Bianchi et de Pierre Pacherele.

jépadçon a écrit :

LeVioloneux a écrit :

isabelg a écrit :Bah, tu colles un rajout! J'en connais un qui colle des pièces rapportées sur les bords des tables de ses violoncelles...

Ah ? Est-ce une pratique courante ? Disons, une 'tolérance' admise par l'ensemble de la profession ?

Oui, on apelle ça un chanteau.

Merci jépadçon