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Publié : lun. 18 sept. 2006 18:54
par yodeyma
Lou a écrit :
comme je l'attendais celle là...
C'est le moins qu'au puisse attendre d'un 4 en 1 !!

Publié : lun. 18 sept. 2006 19:00
par yodeyma
sabayonne a écrit :
ah oui ? il a quand même le droit aux friandises alors qu'il trouve le violon agréable ?
Il a de la chance

Je crois pas qu'ont parlent du violon !!! lol

Publié : lun. 18 sept. 2006 19:06
par Ludwig
Publié : lun. 18 sept. 2006 19:18
par Lou
Pas de panique Ludwig, il n'y a pas grand chose à comprendre...
Un violon qui couine (sans t'offenser Mauleaunais), un chien qui n'apprécie pas, une friandise pour lui rendre les choses plus douces...et un ou deux forumeurs qui se font un malin plaisir à détourner les choses parce que, comment dire, ils s'ennuient...peut-être?!
Mais qu'ils sont prévisibles ces petits
Pour revenir à nos moutons, on peut toujours rendre la musique moins insupportable à nos animaux...il faut juste un peu de patience et de volonté...
Yup!
Publié : lun. 18 sept. 2006 19:19
par Lou
Ludwig Wittgenstein a écrit : Vous avez troublé ma méditation immaterialiste
Tu entends quoi par "méditation immatérialiste"?

Publié : lun. 18 sept. 2006 20:13
par Ludwig
Pour reprendre le sujet du post, je m'étais amusé avec du matériel un peu étrange à faire un son de guitare faisant fuir le chat. Pas par méchanceté, mais un peu par curiosité. Je suis allé par pallier jusqu'a une limite de 24 tons au-delà du mi aigu d'une guitare, il me semble. Mais ça ne l'a pas vraiment troublé. Il s'appellait Witt, mais j'ai du m'en séparer. A part ça il s'était très bien habitué au son doux de ma guitare classique. Sinon hier, alors que j'étais tout nu dedans mon lit, j'ai allumé Arte. Ca parlait de l'empreinte sur des poussins pour leur faire croire qu'un robot était leur mère. Je crois que j'en avais entendu parler dans un ouvrage simple de Konrad Lorenz, en tout cas pas un ouvrage théorique. Enfin bon. Je me demande les résultats avec un violon.
Sinon disons que j'étais frustré de ne pas saisir le sous-entendu libidineux !
Pour la méditation immaterialiste, c'est juste un terme pompeux pour désigner la lecture de Berkeley. "Qu'il n'y ait rien de tel que ce que les philosophes appellent substance matérielle, j'en suis sérieusement persuadé". Parfois, en lisant, on se sent crétin. Là j'avoue que c'est le cas, pourtant Berkeley n'emploit aucun jargon et reste simple...
Publié : lun. 18 sept. 2006 20:26
par yodeyma
Ludwig Wittgenstein a écrit : Sinon hier, alors que j'étais tout nu dedans mon lit, j'ai allumé Arte
ludwig tu nous fais flipper la !!

t'es sur que ton stage commando c'est bien passer ?
Publié : lun. 18 sept. 2006 20:33
par Ludwig
J'aime pas trop Arte, mais jeudi ils passent Dersou Ouzala. Cette chaine ne peut donc pas être foncièrement méchante !
Publié : lun. 18 sept. 2006 20:33
par Lou
Ludwig Wittgenstein a écrit :Pour reprendre le sujet du post, je m'étais amusé avec du matériel un peu étrange à faire un son de guitare faisant fuir le chat. Pas par méchanceté, mais un peu par curiosité. Je suis allé par pallier jusqu'a une limite de 24 tons au-delà du mi aigu d'une guitare, il me semble.

On va pas être copain...
Sinon hier, alors que j'étais tout nu dedans mon lit
Et tu va nous faire croire que tu n'as pas compris le sous-entendu libidineux !

Publié : lun. 18 sept. 2006 20:42
par Ludwig
C'était juste une citation cachée et un peu déformée des Méditations Métaphysiques, un passage qui m'avait fait rire, alors que je lisais ce texte pour la première fois. Ensuite j'ai vu bien pire...Notament Lucrèce, dans De natura Rerum

Mais sur tout cela je tire un voile pudique, de peur de choquer vos chastes yeux.
Toutefois j'ai ici à considérer que je suis homme, et par conséquent que j'ai coutume de dormir et de me représenter en mes songes les mêmes choses, ou quelquefois de moins vraisemblables, que ces insensés, lorsqu'ils veillent. Combien de fois m'est-il arrivé de songer, la nuit, que j'étais en ce lieu, que j'étais habillé, que j'étais auprès du feu, quoique je fusse tout nu dedans mon lit ? Il me semble bien à présent que ce n'est point avec des yeux endormis que je regarde ce papier; que cette tête que je remue n'est point assoupie; que c'est avec dessein et de propos délibéré que j'étends cette main et que je la sens: ce qui arrive dans le sommeil ne semble point si clair ni si distinct que tout ceci. Mais, en y pensant soigneusement, je me ressouviens d'avoir été souvent trompé, lorsque je dormais, par de semblables illusions. Et m'arrêtant sur cette pensée, je vois si manifestement qu'il n'y a point d'indices concluants, ni de marques assez certaines par où l'on puisse distinguer nettement la veille d'avec le sommeil, que j'en suis tout étonné; et mon étonnement est tel, qu'il est presque capable de me persuader que je dors.
Publié : mer. 20 sept. 2006 21:59
par Ludwig
Sinon chui pas aussi pompeux d'habitude vous savez
Ludwig