Re: Liste de livres sur le violon
Publié : ven. 7 déc. 2018 21:41
J’ai fini hier ce livre:
« Pour l’amour d’un Stradivarius » de Pierre Amoyal, 232p, Ed Laffont, 2004.

(je l’ai eu en occaz, comme d’hab …)
Résumé de l’éditeur:
Coup de foudre, drame et heureux dénouement. Rien ne manque à cette aventure aux héros peu banals : Pierre Amoyal, l’un des plus talentueux violonistes du monde, et le Kochanski, un stradivarius, dérobé puis retrouvé quatre années plus tard après de rocambolesques péripéties.
En 1987, « l’âme sœur » de Pierre Amoyal est dérobée. Pour le soliste, c’est pire qu’un vol : une amputation. Pendant quatre ans, il vivra des aventures dignes de Rouletabille pour récupérer son instrument : fausses demandes de rançons, antiquaires véreux, collectionneurs peu clairs, policiers bizarres mènent une curieuse ronde pour garder ou revendre ce violon rarissime.
Un polar qui se double d’une extraordinaire autobiographie, pleine de verve et d’émotion. Celle d’un jeune prodige qui, à sept ans, décide qu’il sera violoniste, et est à vingt ans un virtuose international.
À sept ans, Pierre Amoyal décide qu’il sera violoniste. Enfant prodige, il entre au conservatoire de Paris à douze ans, à dix-sept ans il part pour devenir, aux États-Unis, l’élève du grand Heifetz. À vingt ans, il est l’un des plus grands solistes du monde. Enseignant au conservatoire de Paris à vingt-huit ans, il transmet à ses élèves l’héritage de ses prédécesseurs. Homme de passion et de cœur, il s’engage dans des spectacles bien loin des classiques concerts musicaux et ira jusqu’à monter un spectacle avec l’écrivain-clown, spécialiste des enfants autistes, Howard Buten.
Un merveilleux hommage à ceux qui « font » la musique : par de multiples anecdotes et souvenirs, Pierre Amoyal nous emmène à la rencontre des musiciens, chefs d’orchestre et compositeurs qu’il a croisés ou interprétés.
Mon petit avis:
Le livre est structuré en chapitres alternatifs: un sur l’histoire du vol et son enquête, puis un autre sur la vie du virtuose Amoyal.
les deux types de chapitres sont intéressants.
Cependant l’alternance systématique est parfois un peu lourde (on perd parfois un peu le fil de l’un ou de l’autre).
Le styles est agréable, un écrivain l’a aidé. Parfois un peu trop de détails peu utiles.
L’enquête est prenante, bien racontée, le suspens est ménagé.
La biographie de Amoyal est intéressante, on est parfois étonné des certains aspects de la vie d’un virtuose… (par ex être hypersensible tout en étant extrêmement fort et résistant à beaucoup de stress…)
Un bon bouquin sur le violon, … que j’ai dévoré en 3 jours …
« Pour l’amour d’un Stradivarius » de Pierre Amoyal, 232p, Ed Laffont, 2004.

(je l’ai eu en occaz, comme d’hab …)
Résumé de l’éditeur:
Coup de foudre, drame et heureux dénouement. Rien ne manque à cette aventure aux héros peu banals : Pierre Amoyal, l’un des plus talentueux violonistes du monde, et le Kochanski, un stradivarius, dérobé puis retrouvé quatre années plus tard après de rocambolesques péripéties.
En 1987, « l’âme sœur » de Pierre Amoyal est dérobée. Pour le soliste, c’est pire qu’un vol : une amputation. Pendant quatre ans, il vivra des aventures dignes de Rouletabille pour récupérer son instrument : fausses demandes de rançons, antiquaires véreux, collectionneurs peu clairs, policiers bizarres mènent une curieuse ronde pour garder ou revendre ce violon rarissime.
Un polar qui se double d’une extraordinaire autobiographie, pleine de verve et d’émotion. Celle d’un jeune prodige qui, à sept ans, décide qu’il sera violoniste, et est à vingt ans un virtuose international.
À sept ans, Pierre Amoyal décide qu’il sera violoniste. Enfant prodige, il entre au conservatoire de Paris à douze ans, à dix-sept ans il part pour devenir, aux États-Unis, l’élève du grand Heifetz. À vingt ans, il est l’un des plus grands solistes du monde. Enseignant au conservatoire de Paris à vingt-huit ans, il transmet à ses élèves l’héritage de ses prédécesseurs. Homme de passion et de cœur, il s’engage dans des spectacles bien loin des classiques concerts musicaux et ira jusqu’à monter un spectacle avec l’écrivain-clown, spécialiste des enfants autistes, Howard Buten.
Un merveilleux hommage à ceux qui « font » la musique : par de multiples anecdotes et souvenirs, Pierre Amoyal nous emmène à la rencontre des musiciens, chefs d’orchestre et compositeurs qu’il a croisés ou interprétés.
Mon petit avis:
Le livre est structuré en chapitres alternatifs: un sur l’histoire du vol et son enquête, puis un autre sur la vie du virtuose Amoyal.
les deux types de chapitres sont intéressants.
Cependant l’alternance systématique est parfois un peu lourde (on perd parfois un peu le fil de l’un ou de l’autre).
Le styles est agréable, un écrivain l’a aidé. Parfois un peu trop de détails peu utiles.
L’enquête est prenante, bien racontée, le suspens est ménagé.
La biographie de Amoyal est intéressante, on est parfois étonné des certains aspects de la vie d’un virtuose… (par ex être hypersensible tout en étant extrêmement fort et résistant à beaucoup de stress…)
Un bon bouquin sur le violon, … que j’ai dévoré en 3 jours …
