Amis musiciens,
Voici une proposition de devoir de vacances.
La Sonate en si mineur N° 3 du recueil de douze Sonates à Violon seul d’Ignazio ALBERTINI (ca 1644-1685) que l'on peut trouver sur :
https://imslp.org/wiki/12_Violin_Sonata ... C_Ignazio)
Un enregistrement par Hélène Schmitt :
https://www.youtube.com/watch?v=dAwJqGakZro
Peu de données sur ce compositeur, violoniste à la cour de Vienne, proche de Johann Heinrich SCHMELZER (ca 1623-1680).
La musique en partage.
Jean-François MAILLET
Ignazio ALBERTINI
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Archet
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Ignazio ALBERTINI
Si la musique est un langage précieux, alors les musiciens qui prennent part à la conversation doivent faire montre d’une éloquence rare.
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Re: Ignazio ALBERTINI
Quelques précisions :
Sur les éditions originales, pour la musique ancienne, il est fréquent de doubler les altérations, ici le fa grave et le fa aigu, et à l'inverse quelques fois de les omettre ; difficile dans ce cas de deviner la tonalité en ne regardant que l'armure. Il existe une bonne édition moderne des 12 Sonates d'Ignazio Albertini chez Güntersberg mais en règle générale, dans la mesure du possible, il est souvent préférable de travailler sur un fac simile.
Peu de liaisons à cette époque, à rapprocher de la lutherie - Violon baroque, cordes en boyau, archet baroque - où une articulation naturelle est plus marquée que de nos jours. Les liaisons sont souvent dynamiques. Ici, on prend des appuis en fonction du phrasé, de son goût, en adéquation avec la Basse continue.
Hélène Schmitt (avec Jörg-Andreas Bötticher Clavecin et Orgue, Karl-Ernst Schröder Théorbe et David Sinclair Violone) a enregistré la presque totalité de ces Sonates, parues chez Alpha.
Bonne musique.
D'autres informations sur le site :
http://association.amati.pagesperso-orange.fr
Sur les éditions originales, pour la musique ancienne, il est fréquent de doubler les altérations, ici le fa grave et le fa aigu, et à l'inverse quelques fois de les omettre ; difficile dans ce cas de deviner la tonalité en ne regardant que l'armure. Il existe une bonne édition moderne des 12 Sonates d'Ignazio Albertini chez Güntersberg mais en règle générale, dans la mesure du possible, il est souvent préférable de travailler sur un fac simile.
Peu de liaisons à cette époque, à rapprocher de la lutherie - Violon baroque, cordes en boyau, archet baroque - où une articulation naturelle est plus marquée que de nos jours. Les liaisons sont souvent dynamiques. Ici, on prend des appuis en fonction du phrasé, de son goût, en adéquation avec la Basse continue.
Hélène Schmitt (avec Jörg-Andreas Bötticher Clavecin et Orgue, Karl-Ernst Schröder Théorbe et David Sinclair Violone) a enregistré la presque totalité de ces Sonates, parues chez Alpha.
Bonne musique.
D'autres informations sur le site :
http://association.amati.pagesperso-orange.fr
Si la musique est un langage précieux, alors les musiciens qui prennent part à la conversation doivent faire montre d’une éloquence rare.