Publié : lun. 27 sept. 2004 10:05
Bonjour Julien,
T'as cru entendre cela ?
Pour ma part, il y a de cela plusieur années, j'ai entendu aussi... Mais là , on parlais du Cananda...
Je fais appelle à ma mémoire de mon temps de lycée... ce qui date quand même un peu.
Nos amis canadiens coupent les arbres... normal, ils entretiennent leur forêt... et font voyager les tronc dans une rivière d'un point A à un point B et vende le bois... ok, jusqu'ici, rien d'extraordinaire... mais on a remarque que tel essence d'arbre, voyageant par l'eau sèche plus lentement et lorsqu'on l'utilise en lutherie il a un son qu'on ne retrouve que chez les Strad !
Ils en étaient à ce demander s'ils n'avaient pas percé le mystère ! Car comment Stradivari faisait-il voyager ses troncs d'arbres qu'il avait choisi dans les forêts alpines ? hein ? Par l'eau, évidemment !
Or le Japon est plus qu'un pays avec des mentalité d'orient, c'est une archipelle, un groupement d'ïles entourées d'eau... Combien d'heure font-il gorgé le bois avant de le séché ? Et comment le font-ils séché ? De plus, l'eau à un taux de salinité qui pénètre le bois et cristalisent les fibres. Cela ne m'étonnerais pas qu'après avoir pris le gabarit initiale de Stadivari, coupé et taillé le bois "choisi" au laser, on se trouve devant des violons d'exception !
Savez vous que le premier vernis que l'on pose contient de la poudre de cristal qui vitrifie la surface de votre compagnon à quatre corde, et que cette première couche est comme la peau de vos dents : indestructible, imputrecible et pénétrante pour les fibres ? Le vernis suivant peut, se fatiguer, s'user, perdre sa teinte, voire disparaà®tre, la première des couches ne s'en va jamais, on les a retrouvé intacte sur les violon de Stradivari... Si les japonais agissent de même, alors il faut s'attendre à une génération de violon digne de nos luthiers occidentaux.
T'as cru entendre cela ?
Pour ma part, il y a de cela plusieur années, j'ai entendu aussi... Mais là , on parlais du Cananda...
Je fais appelle à ma mémoire de mon temps de lycée... ce qui date quand même un peu.
Nos amis canadiens coupent les arbres... normal, ils entretiennent leur forêt... et font voyager les tronc dans une rivière d'un point A à un point B et vende le bois... ok, jusqu'ici, rien d'extraordinaire... mais on a remarque que tel essence d'arbre, voyageant par l'eau sèche plus lentement et lorsqu'on l'utilise en lutherie il a un son qu'on ne retrouve que chez les Strad !
Ils en étaient à ce demander s'ils n'avaient pas percé le mystère ! Car comment Stradivari faisait-il voyager ses troncs d'arbres qu'il avait choisi dans les forêts alpines ? hein ? Par l'eau, évidemment !
Or le Japon est plus qu'un pays avec des mentalité d'orient, c'est une archipelle, un groupement d'ïles entourées d'eau... Combien d'heure font-il gorgé le bois avant de le séché ? Et comment le font-ils séché ? De plus, l'eau à un taux de salinité qui pénètre le bois et cristalisent les fibres. Cela ne m'étonnerais pas qu'après avoir pris le gabarit initiale de Stadivari, coupé et taillé le bois "choisi" au laser, on se trouve devant des violons d'exception !
Savez vous que le premier vernis que l'on pose contient de la poudre de cristal qui vitrifie la surface de votre compagnon à quatre corde, et que cette première couche est comme la peau de vos dents : indestructible, imputrecible et pénétrante pour les fibres ? Le vernis suivant peut, se fatiguer, s'user, perdre sa teinte, voire disparaà®tre, la première des couches ne s'en va jamais, on les a retrouvé intacte sur les violon de Stradivari... Si les japonais agissent de même, alors il faut s'attendre à une génération de violon digne de nos luthiers occidentaux.