Lisez vous les biographies des compositeurs ?
Publié : sam. 1 nov. 2008 21:34
Je me suis posé une question un jour sur une œuvre que je jouais : Mais pourquoi il a composé un truc aussi sympa, ce type là ? Et hop direction la bibliothèque, deux trois soirs après je me suis senti obligé de lire aussi la bio de celle pour qui il avait composé, et de fils en aiguilles j'ai remonté dans le temps jusqu'à l'illustre sourd pour m'arrêter à Debussy. La boucle était donc bouclé pour moi.
J'ai fait plusieurs constats dont les plus frappant sont que les bio des grands compositeurs n'ont rien à envier aux meilleurs Galas et Voiçi qui trônent chez ma coiffeuse. Les Obispo et Bruel sont de jeunes puceaux aux cotés de nos chères Grands Hommes de la Musique Classique qui embourgeoisent les salons feutrés de ma ville provinciale. Ouf !
Ils sont presque tous morts jeunes sans enfants et dans une indifférence totale et pauvre en plus, ce qui doit être super dur surtout quand tu es mort.
J'ai profité de ces lectures pour découvrir les autres, les oubliés, ceux dont le répertoire à été oublié, négligé ou même snobé. Augusta Holmès par exemple, elle habitait à coté de chez moi, maintenant c'est un concessionnaire moto à la place, par contre au boulevard des allongé(e)s elle n'est même pas fleurie.(je vais réparer cet oubli). Ah oui ça me ramène au début de cette histoire qui a démarrer avec le quintette de César Franck.
Alors si vous aussi vous avez de belles histoires sur nos compo n'hésitez pas à en parler.
J'ai fait plusieurs constats dont les plus frappant sont que les bio des grands compositeurs n'ont rien à envier aux meilleurs Galas et Voiçi qui trônent chez ma coiffeuse. Les Obispo et Bruel sont de jeunes puceaux aux cotés de nos chères Grands Hommes de la Musique Classique qui embourgeoisent les salons feutrés de ma ville provinciale. Ouf !
Ils sont presque tous morts jeunes sans enfants et dans une indifférence totale et pauvre en plus, ce qui doit être super dur surtout quand tu es mort.
J'ai profité de ces lectures pour découvrir les autres, les oubliés, ceux dont le répertoire à été oublié, négligé ou même snobé. Augusta Holmès par exemple, elle habitait à coté de chez moi, maintenant c'est un concessionnaire moto à la place, par contre au boulevard des allongé(e)s elle n'est même pas fleurie.(je vais réparer cet oubli). Ah oui ça me ramène au début de cette histoire qui a démarrer avec le quintette de César Franck.
Alors si vous aussi vous avez de belles histoires sur nos compo n'hésitez pas à en parler.