Je boude...
Publié : lun. 7 déc. 2009 00:11
Bon, je sais bien que quand certaines choses vont mal, on a l'impression que tout empire, mais je crois bien que là, c'est tout qui va pas 
D'abord les études : BTS Blanc de physique appliquée vendredi passé. Je suis une tâche en physique alors que c'est une matière hyper importante dans ma spécialité (Electrotechnique), j'ai réussi à sauver un peu l'honneur en grattant des points sur des questions "faciles" (merci au redressement commandé), mais j'ai de quoi m'inquiéter, je me suis loupé la partie sur la machine asynchrone >_<
Le travail à la maison : Très simple ; j'em***de ces patrons malappris qui ne se donnent pas la peine de répondre aux candidatures autres que des demandes de stage non rémunérées, ne serait-ce que pour dire "non". La politesse bordel ! C'est votre mère ou votre chien qui vous l'a enseignée ? Qu'on ne me sorte pas qu'ils reçoivent 50+ CV par jour, ils pourraient très bien répondre avec des lettres pré-rédigées au moins pour montrer qu'ils lisent les candidatures...
Les relations avec les autres : J'adore le lycée, les gars de ma classe sont pour la moitié d'entre eux tellement cons que je préfère traîner qu'avec des élèves des autres classes. Mais en dehors de ça, j'ai l'impression qu'il y a des bruit qui courent à mon sujet. Ca pourrait très bien être cet abruti de ma classe qui croit que je suis sa tête de turc et que j'ai déjà dû menacer de plaintes pour harcèlement moral pour qu'il me foute la paix, mais ça pourrait tout aussi bien être une personne que je ne connais même pas...
La famille : Plus exactement mon père. Je ne sais pas si c'est moi qui ai du mal à supporter les gens, mais il me gave sérieusement au point que des fois je me dis que ma mère aurait dû mettre à exécution ses menaces et divorcer, histoire qu'il aille retrouver sa truie et son gosse (qui pourrait bien être mon demi frère vu le temps depuis lequel il trompait ma mère avant qu'elle ne le découvre) plutôt que de le laisser rester sous prétexte "qu'il nous aime..."
L'amour : Le sujet qui fâche. J'ai été amoureux d'une fille pendant 2 ans... 2 ans pour me rendre compte que ce n'était qu'une gamine qui se croyait plus grande qu'elle ne l'était. Je savais quelle ne voulait pas sortir avec moi, j'ai laissé les choses s'envenimer, j'admets ma part de responsabilité. 2 ans qu'elle a passés à faire la gentille, pour finalement me balancer du jour au lendemain que je lui faisais pitié et que même être amis c'était pas possible. C'est en repensant au comportement qu'elle avait que je me suis rendu compte que c'est moi qui était aveugle ; et qui n'ai pas vu qu'elle se comportait vraiment comme ce genre de filles tellement sûres de leurs petites valeurs surfaites et inutiles et qui représentent tout ce que je déteste... C'était quelqu'un d'adorable quand on s'est connus et je ne l'ai même pas vue changer.
Si ça se limitait à ça, ça irait encore. maintenant je me demande ce que je pouvais bien lui trouver et je me console en me disant "Qui n'est plus ton ami ne l'a jamais été." Là où ça me gêne, c'est qu'elle a aussi planté sa meilleure amie (avec qui j'avais eu une longue discussion sur ce que je pensais de "Charlotte" après ce qu'elle m'avait dit) et qu'elle se sent plus pisser depuis qu'elle est à l'université. Quand l'amie en question m'a annoncé que j'avais raison et que c'était fini entre elles, je me suis dit "C'est bon, c'est même pas la peine qu'elle m'adresse la parole quand on se reverra, j'en ai assez bavé, j'ai été assez gentil même quand elle m'a brisé le coeur, c'est hors de question que je lui pardonne quoi que ce soit pour le moment".
Sur le coup, j'avais failli faire une grosse connerie (non non, pas me suicider, je vous rassure) : abandonner mes études (à mi-chemin de mon BTS), trouver un boulot et me plonger dedans, ainsi que dans mes leçons de violon et dans tout ce qui pouvait me détourner d'elle. Ca paraît idiot de tout plaquer pour si peu, mais il y a trois mois de cela c'était à la hauteur de ma déception.
Maintenant que ça va mieux, je commence à m'intéresser à d'autres personnes... Mais la personne sur qui j'ai des vues est en première ES et doit avoir tout au plus 17 ans (soit l'âge de Charlotte, alors que moi j'en ai 20). Du coup je suis méfiant depuis cette histoire et je compte pas me montrer plus intentionné pour le moment, des fois que ce soit le même genre de personne sans que je m'en rende compte.
Je sais pas non plus quel problème j'ai pour m'enticher de filles qui ont au moins 2 ans de moins que moi plutôt que de sortir avec des filles de mon âge... Peut-être que j'ai peur que ce soit moi qui passe pour un gamin à côté d'elles.
Au final, je commence à haïr certains couples... Qu'ils se lèchent la gueule en public ne me dérange pas, mais que certains s'amusent à me balancer des vannes dans le plus pur style "T'as vu ? On est heureux, NOUS !" ça me donne vraiment envie de les embrocher, de les faire sécher dans les combles chez moi pour ensuite faire brûler leurs corps le 14 février sur la place publique (non je ne suis pas un psychopathe, c'est juste l'effet "y en a marre").
Au final, je pense que d'une manière générale je suis trop gentil et que la plupart des personnes citées ci-dessus abusent de ma gentillesse, que ce soit pour se moquer de moi sans que je me rebiffe ou pour me demander un service et ensuite disparaître jusqu'à la prochaine fois où ils auront besoin de moi.
Le pire c'est que je suis empathe et que je vois ce genre de personnes venir de trèèèèèèèèès loin mais je m'en méfie pas, en me disant que peut-être qu'il ne sont pas aussi salauds que je le sens... Je songe sérieusement à me comporter comme un c*****d avec ces personnes et normalement avec les autres, mais je sais pas... Ca me ressemble vraiment pas, à chaque fois que je veux balancer une réplique cinglante pour leur montrer que c'est même pas la peine avec moi, ça veut pas sortir ; je me ravise toujours.
Je pourrais bien en parler à ma famille, mais ça va venir aux oreilles de mon père, qui va me faire ch**r avec ça, puis faire le gentil pendant un petit moment avant de recommencer à gueuler pour des conneries. Du coup, je préfère en parler à des personnes que je ne connais pas (tiens donc, limite je ferais plus confiance à des inconnus qu'à 70% de mon entourage).
Ca fait du bien de lâcher tout ça en tout cas...
D'abord les études : BTS Blanc de physique appliquée vendredi passé. Je suis une tâche en physique alors que c'est une matière hyper importante dans ma spécialité (Electrotechnique), j'ai réussi à sauver un peu l'honneur en grattant des points sur des questions "faciles" (merci au redressement commandé), mais j'ai de quoi m'inquiéter, je me suis loupé la partie sur la machine asynchrone >_<
Le travail à la maison : Très simple ; j'em***de ces patrons malappris qui ne se donnent pas la peine de répondre aux candidatures autres que des demandes de stage non rémunérées, ne serait-ce que pour dire "non". La politesse bordel ! C'est votre mère ou votre chien qui vous l'a enseignée ? Qu'on ne me sorte pas qu'ils reçoivent 50+ CV par jour, ils pourraient très bien répondre avec des lettres pré-rédigées au moins pour montrer qu'ils lisent les candidatures...
Les relations avec les autres : J'adore le lycée, les gars de ma classe sont pour la moitié d'entre eux tellement cons que je préfère traîner qu'avec des élèves des autres classes. Mais en dehors de ça, j'ai l'impression qu'il y a des bruit qui courent à mon sujet. Ca pourrait très bien être cet abruti de ma classe qui croit que je suis sa tête de turc et que j'ai déjà dû menacer de plaintes pour harcèlement moral pour qu'il me foute la paix, mais ça pourrait tout aussi bien être une personne que je ne connais même pas...
La famille : Plus exactement mon père. Je ne sais pas si c'est moi qui ai du mal à supporter les gens, mais il me gave sérieusement au point que des fois je me dis que ma mère aurait dû mettre à exécution ses menaces et divorcer, histoire qu'il aille retrouver sa truie et son gosse (qui pourrait bien être mon demi frère vu le temps depuis lequel il trompait ma mère avant qu'elle ne le découvre) plutôt que de le laisser rester sous prétexte "qu'il nous aime..."
L'amour : Le sujet qui fâche. J'ai été amoureux d'une fille pendant 2 ans... 2 ans pour me rendre compte que ce n'était qu'une gamine qui se croyait plus grande qu'elle ne l'était. Je savais quelle ne voulait pas sortir avec moi, j'ai laissé les choses s'envenimer, j'admets ma part de responsabilité. 2 ans qu'elle a passés à faire la gentille, pour finalement me balancer du jour au lendemain que je lui faisais pitié et que même être amis c'était pas possible. C'est en repensant au comportement qu'elle avait que je me suis rendu compte que c'est moi qui était aveugle ; et qui n'ai pas vu qu'elle se comportait vraiment comme ce genre de filles tellement sûres de leurs petites valeurs surfaites et inutiles et qui représentent tout ce que je déteste... C'était quelqu'un d'adorable quand on s'est connus et je ne l'ai même pas vue changer.
Si ça se limitait à ça, ça irait encore. maintenant je me demande ce que je pouvais bien lui trouver et je me console en me disant "Qui n'est plus ton ami ne l'a jamais été." Là où ça me gêne, c'est qu'elle a aussi planté sa meilleure amie (avec qui j'avais eu une longue discussion sur ce que je pensais de "Charlotte" après ce qu'elle m'avait dit) et qu'elle se sent plus pisser depuis qu'elle est à l'université. Quand l'amie en question m'a annoncé que j'avais raison et que c'était fini entre elles, je me suis dit "C'est bon, c'est même pas la peine qu'elle m'adresse la parole quand on se reverra, j'en ai assez bavé, j'ai été assez gentil même quand elle m'a brisé le coeur, c'est hors de question que je lui pardonne quoi que ce soit pour le moment".
Sur le coup, j'avais failli faire une grosse connerie (non non, pas me suicider, je vous rassure) : abandonner mes études (à mi-chemin de mon BTS), trouver un boulot et me plonger dedans, ainsi que dans mes leçons de violon et dans tout ce qui pouvait me détourner d'elle. Ca paraît idiot de tout plaquer pour si peu, mais il y a trois mois de cela c'était à la hauteur de ma déception.
Maintenant que ça va mieux, je commence à m'intéresser à d'autres personnes... Mais la personne sur qui j'ai des vues est en première ES et doit avoir tout au plus 17 ans (soit l'âge de Charlotte, alors que moi j'en ai 20). Du coup je suis méfiant depuis cette histoire et je compte pas me montrer plus intentionné pour le moment, des fois que ce soit le même genre de personne sans que je m'en rende compte.
Je sais pas non plus quel problème j'ai pour m'enticher de filles qui ont au moins 2 ans de moins que moi plutôt que de sortir avec des filles de mon âge... Peut-être que j'ai peur que ce soit moi qui passe pour un gamin à côté d'elles.
Au final, je commence à haïr certains couples... Qu'ils se lèchent la gueule en public ne me dérange pas, mais que certains s'amusent à me balancer des vannes dans le plus pur style "T'as vu ? On est heureux, NOUS !" ça me donne vraiment envie de les embrocher, de les faire sécher dans les combles chez moi pour ensuite faire brûler leurs corps le 14 février sur la place publique (non je ne suis pas un psychopathe, c'est juste l'effet "y en a marre").
Au final, je pense que d'une manière générale je suis trop gentil et que la plupart des personnes citées ci-dessus abusent de ma gentillesse, que ce soit pour se moquer de moi sans que je me rebiffe ou pour me demander un service et ensuite disparaître jusqu'à la prochaine fois où ils auront besoin de moi.
Le pire c'est que je suis empathe et que je vois ce genre de personnes venir de trèèèèèèèèès loin mais je m'en méfie pas, en me disant que peut-être qu'il ne sont pas aussi salauds que je le sens... Je songe sérieusement à me comporter comme un c*****d avec ces personnes et normalement avec les autres, mais je sais pas... Ca me ressemble vraiment pas, à chaque fois que je veux balancer une réplique cinglante pour leur montrer que c'est même pas la peine avec moi, ça veut pas sortir ; je me ravise toujours.
Je pourrais bien en parler à ma famille, mais ça va venir aux oreilles de mon père, qui va me faire ch**r avec ça, puis faire le gentil pendant un petit moment avant de recommencer à gueuler pour des conneries. Du coup, je préfère en parler à des personnes que je ne connais pas (tiens donc, limite je ferais plus confiance à des inconnus qu'à 70% de mon entourage).
Ca fait du bien de lâcher tout ça en tout cas...
Ça ne veut pas dire que tu acceptes, juste que tu ne te laisses pas toucher. 
Tu peux prendre ça comme une expérience anthropologique ou sociologique d'observation de l'espèce humaine, ça peut même devenir rigolo! 
. Le "Bien" et le "Mal" n'existent pas dans l'absolu. Mais bon, ce n'est pas le sujet du forum...
.
qui veut dire s'en contreficher. Ah les suisses. Moi la première fois qu'un suisse m'a dit " ca joue?" je lui ai répondu : "oh ben non là tout de suite je fais une pause, j'ai déjà fait deux heures ce matin " 
