Bon voila ,apres une auto-lapidation en règle ,conséquence logique d'une erreur pouvant être évitée si comme en lutherie en général ,on réfléchi avant d'agir je me decide a avouer ma faute

J'ai récupéré il y a peu ,un violon entier,dont le vernis a été refait au rouleau,il y a surement longtemps…ce violon en très bon état général date de 1935 et a été fabriqué par Gilbert Breuil,luthier a Bordeaux,dont je n'ai retrouvé a ce jour aucune trace.
Devant cet état un peu pitoyable,et très excité a l'idée de lui refaire une jeunesse, je parts bille en tete sur un ponçage de la table…j'entend déjà vos hurlements


La touche a été poncée elle aussi,mais là, c'était bien nécessaire.
J'ai pas été plus loin,car apres cet exercice fastidieux, je me suis mis a lire logiquement les sujets posté sur les forum,autant dire que j'ai fait les choses a l'envers,comme quoi y'a pas d'âge pour faire des c….!

Pourtant la fabrication de ma première guitare classique aurait du m'apporter un peu plus de self control,y'en a pour qui c'est plus long….
Leçon N1: quand on sait pas ,on demande!
on ne ponce pas le vernis d'un violon,on le restaure .
Etant donné que le but de la manip, est de rendre ce violon jouable(pour ma fille),je vous montre son état en espérant que vous pourrez me conseiller pour tenter d'inverser l'irréversible ou plutôt d'en atténuer les conséquences...
Merci infiniment

