Etude Speciale n°8 de Mazas
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Bonjour,
Ma fille est entrée au CNR et son prof lui demande Les études spéciales De MAZAS et présentement la N° 5.
J'ai trouvé sur le net le PDF du book : 75 melodious and progressive studies book 1
Il y a la N° 5
est-ce bien la même chose ?
Si ok, que pensez-vous de cette édition ? pour les doigtés je pense que son prof lui indiquera les "bons".
Merci
ps : si j'ai pas la bonne version, je suis preneur en téléchargement d'une version en pdf
Merci
Ma fille est entrée au CNR et son prof lui demande Les études spéciales De MAZAS et présentement la N° 5.
J'ai trouvé sur le net le PDF du book : 75 melodious and progressive studies book 1
Il y a la N° 5
est-ce bien la même chose ?
Si ok, que pensez-vous de cette édition ? pour les doigtés je pense que son prof lui indiquera les "bons".
Merci
ps : si j'ai pas la bonne version, je suis preneur en téléchargement d'une version en pdf
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- Claire91
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Il s'agit bien de la même chose : les études de Mazas, opus 36, "75 études mélodiques et progressives" se répartissent en 3 volumes :
- volume 1 (études 1 à 30) : Etudes spéciales
- volume 2 (études 31 à 57) : Etudes brillantes
- volume 3 (études 58 à 75) : Etudes d'artistes
Vu que tu ne nous dis pas quelle est l'édition que tu as trouvé sur le net, il va être difficile de te donner un avis dessus
Mais il n'y a pas de raison qu'elle soit mauvaise : dans les études, le compositeur est très directif quant aux coups d'archets, au nuances, voire aux doigté, vu que c'est souvent l'objet même du morceau que de travailler ces points là. Il y a donc peu de variantes d'une édition à l'autre.
Cela dit, les études de Mazas (en particulier les 2 premiers volumes) font vraiment partie des cahiers de référence dans l'apprentissage du violon, ta fille les utilisera pendant de nombreuses années. Cela fait partie des partitions qui méritent d'être achetées, je pense.
- volume 1 (études 1 à 30) : Etudes spéciales
- volume 2 (études 31 à 57) : Etudes brillantes
- volume 3 (études 58 à 75) : Etudes d'artistes
Vu que tu ne nous dis pas quelle est l'édition que tu as trouvé sur le net, il va être difficile de te donner un avis dessus

Mais il n'y a pas de raison qu'elle soit mauvaise : dans les études, le compositeur est très directif quant aux coups d'archets, au nuances, voire aux doigté, vu que c'est souvent l'objet même du morceau que de travailler ces points là. Il y a donc peu de variantes d'une édition à l'autre.
Cela dit, les études de Mazas (en particulier les 2 premiers volumes) font vraiment partie des cahiers de référence dans l'apprentissage du violon, ta fille les utilisera pendant de nombreuses années. Cela fait partie des partitions qui méritent d'être achetées, je pense.
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Merci de votre réponse si rapide !
c'est le vol 1 que j'ai téléchargé en PDF, il y a 30 études ... mais il existe aussi les 2 autres volumes sur le même lien. (dispo sur ce forum) ...
c'est CD sheet music
en anglais ..
Ces volumes sont en téléchargements libres ... et la qualité en imprimante est aussi bonne que celle du volume acheté...
De plus le téléchargement permet de ré-imprimer en cas de perte ou destruction.
merci
c'est le vol 1 que j'ai téléchargé en PDF, il y a 30 études ... mais il existe aussi les 2 autres volumes sur le même lien. (dispo sur ce forum) ...
c'est CD sheet music
en anglais ..
Ces volumes sont en téléchargements libres ... et la qualité en imprimante est aussi bonne que celle du volume acheté...
De plus le téléchargement permet de ré-imprimer en cas de perte ou destruction.
merci
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
re-bonjour,
je reviens vers vous au sujet de ces études de Mazas.
J'ai donc trouvé en pdf les 3 volumes chez sheet Music .
Mais est-ce "légal" ? ça fait il partie des partitions "libres de droits" ? ou bien les conservatoires doivent ils imposer d'acheter " l'original "...
Bien que je pense que vendre des partitions genre photocopies en N&B à 7€ la feuille soit du vol manifeste, je ne voudrais pas mettre les professeurs dans l'embarras en cas de contrôle des inspecteurs de la SEAM ( qui s'est abusivement octroyé l'exclusivité de perception des droits) ...
lorsque c'est libre de droits d'auteur, c'est libre de photocopies ? ou bien faut encore voir avec l'éditeur ? et dans ce cas lorsqu'un éditeur met en pdf sur le net ?
je reviens vers vous au sujet de ces études de Mazas.
J'ai donc trouvé en pdf les 3 volumes chez sheet Music .
Mais est-ce "légal" ? ça fait il partie des partitions "libres de droits" ? ou bien les conservatoires doivent ils imposer d'acheter " l'original "...
Bien que je pense que vendre des partitions genre photocopies en N&B à 7€ la feuille soit du vol manifeste, je ne voudrais pas mettre les professeurs dans l'embarras en cas de contrôle des inspecteurs de la SEAM ( qui s'est abusivement octroyé l'exclusivité de perception des droits) ...
lorsque c'est libre de droits d'auteur, c'est libre de photocopies ? ou bien faut encore voir avec l'éditeur ? et dans ce cas lorsqu'un éditeur met en pdf sur le net ?
- woalith
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
dans les conservatoires, on s'attache à ne pas avoir de photocopies
Ou si copie il y a ca sera par exemple pour écrire dessus, mais il faut avoir l'original à côté, (qu'on ne souhaite pas abimer
)
Ou si copie il y a ca sera par exemple pour écrire dessus, mais il faut avoir l'original à côté, (qu'on ne souhaite pas abimer

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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Merci woalith, mais votre réponse me semble incomplète ...
en effet, je suis bien d'accord avec ce que vous dites lorsque l'œuvre est du domaine privé.
Et qu'il s'agit donc de droits d'auteurs ...
Mais, lorsqu'elle est passée en domaine public, la diffusion n'est elle pas libre de droits ?
et surtout lorsqu'elle provient d'un éditeur (CDSHEETMUSIC) qui la met sur le net !
Vous dites les conservatoires s'attachent à ne pas employer de photocopies ...
Mais que signifie légalement le terme "s'attache à " ?
Les conservatoires PUBLICS ne sont ils pas des diffuseurs de musique ( ce qui est également un devoir pour le bien des compositeurs) plutôt que les supports commerciaux pour des éditeurs PRIVES !
Ma question portait sur les droits d'éditeurs des pièces du domaine public !
merci
en effet, je suis bien d'accord avec ce que vous dites lorsque l'œuvre est du domaine privé.
Et qu'il s'agit donc de droits d'auteurs ...
Mais, lorsqu'elle est passée en domaine public, la diffusion n'est elle pas libre de droits ?
et surtout lorsqu'elle provient d'un éditeur (CDSHEETMUSIC) qui la met sur le net !
Vous dites les conservatoires s'attachent à ne pas employer de photocopies ...
Mais que signifie légalement le terme "s'attache à " ?
Les conservatoires PUBLICS ne sont ils pas des diffuseurs de musique ( ce qui est également un devoir pour le bien des compositeurs) plutôt que les supports commerciaux pour des éditeurs PRIVES !
Ma question portait sur les droits d'éditeurs des pièces du domaine public !
merci
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Si une inspection de la SACEM se fait dans un établissement d'enseignement musical, et que des photocopies sont trouvées dans les affaires des élèves ou des profs, l'amende est considérable... Pour les personnes visées mais aussi pour l'établissement!
Il y a moyen de payer une sorte d'amende forfaitaire d'avance, qui permet un nombre limité de photocopies, mais cla reste confidentiel, sinon, non les photocopies de partitions éditées ne sont en aucun cas autorisées.
... c'est en tous les cas ce que l'on m'a toujours dit quand j'étais au conservatoire ou en école de musique
Il y a moyen de payer une sorte d'amende forfaitaire d'avance, qui permet un nombre limité de photocopies, mais cla reste confidentiel, sinon, non les photocopies de partitions éditées ne sont en aucun cas autorisées.
... c'est en tous les cas ce que l'on m'a toujours dit quand j'étais au conservatoire ou en école de musique
Sans la musique, la vie serait une erreur... Friedrich Nietzsche
- Claire91
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Quand les profs font des photocopies, dans mon conservatoire, ils collent dessus des timbres de la SEAM (Société des éditeurs et auteurs de musique), indiquant une année scolaire spécifique. Ce doit être une sorte de droit au forfait à la copie des éditions dont les droits courent.
Mais la question de tornado concerne les éditions (réellement) libres de droit qu'on trouve sur le net. Y a-t-il obligation dans les conservatoire de privilégier les éditions payantes ?
Mais la question de tornado concerne les éditions (réellement) libres de droit qu'on trouve sur le net. Y a-t-il obligation dans les conservatoire de privilégier les éditions payantes ?
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
Edit suite à recherches :
Je devrais peut-être poster ce sujet dans un fil dédié ... ?
La SEAM s'est autoproclamée perceptrice des droits d'auteurs. Son exclusivité est contestée par les syndicats .
Il ne serait pas étonnant qu'elle englobe les œuvres soumises à droits d'auteurs avec les œuvres libres de droit dans les établissements publics et cela en outrepassant le droit civil, car je constate une grande confusion à ce sujet.
Cette confusion semble entretenue afin que nous achetions des partitions éditées sur papier.
si ces partitions étaient à un coût normal, encore, pourquoi pas, mais payer 7 € une simple page en N&B ! est-ce normal lorsque ça revient à 0,1 € ?
N'oublions pas que si les auteurs doivent être protégés, bien sûr, cela est limité dans le temps à 70 ans ... passé ce délais, l'œuvre appartient au public.
Lorsque une œuvre est du domaine public, il ne devrait pas être interdit de la diffuser librement.
n'oublions pas que nous avons droit et devoir de DIFFUSION de toute œuvre d'art.
Je me demande si la SEAM relayée par les autorités des établissements publics n'a pas semé la confusion afin de percevoir de l'argent sur tout ! inutile de préciser que ce pécule ne va pas à la musique, mais dans la poche d 'administratifs.
Je n ai rien trouvé sur le net qui parle de droits sur des œuvres du domaine public.
J ai même trouvé une charte que je communique ici.
http://group.europeana.eu/web/europeana ... charter-fr
http://group.europeana.eu/web/europeana ... charter-fr
Toutefois, Je cherche une confirmation sans appel du droit de diffuser, imprimer, utiliser toute partition dès lors qu'elle est du domaine public.
D'autant plus lorsqu'elle provient d'un éditeur qui la diffuse gratuitement sur le net.
Quant à aller jusqu'à à fouiller les profs et les élèves dans les conservatoires !!!
Quelle honte ! et atteinte à la liberté citoyenne !
il faudrait alors venir avec la police et avoir un soupçon fondé et une plainte concernant la personne incriminée, sinon c'est un sérieux abus du droit des personnes.
Refusons de nous y soumettre !
Car :
Constater une utilisation frauduleuse de partitions sur le pupitre, c'est une chose mais fouiller dans les affaires des personnes civiles en est une autre.
Je connais des professeurs qui se sont opposés à ce que leur armoire soit ouverte pour un contrôle (comme s'ils cachaient des armes !)...cette armoire leur est personnelle et contient des choses privées...attention certains conservatoires disent que cette armoire leur appartient et qu'elle n'est que prêtée aux professeurs... !
je conseille alors de la laisser ouverte ! et d'en mettre une privée dans sa salle de cours !
D'autre part :
Avoir des copies de partitions dans sa mallette n'est pas une constatation d'utilisation.
Sachez le. Cela peut être des copies réservées à un usage personnel, chez soi. Et votre cartable/mallette/ sac/ porte document ...etc ...ce sont des affaires privées !
La SEAM n'a pas le droit de vous les ouvrir !
Le transport n est pas une utilisation.
Attention, la SEAM outrepasse le droit !
C'est pourquoi, je cherche une publication qui affirme le droit d'utiliser en conservatoire toute photocopie dès lors que l'œuvre n'est plus du domaine privé ...
Merci !
edit :
j'ai trouvé ceci :
http://www.gitton.net/reprographie.htm
La SEAM a donc signé un accord avec les ministères des établissements qui concerne ces établissements et La SEAM perçoit des droits indistinctement sur les œuvres public ou protégées...
C'est disons un "forfait" ...
Toutefois il faut savoir que cet accord concerne les signataires et seulement eux !
ainsi, un élève a le droit de posséder des photocopies des partitions du domaine public...et les droits des éditeurs ne sont que soumis aux droits des auteurs...
Ps aux administrateurs du forum : vous pouvez mettre peut-être cette discussion sur un fil dédié ?
merci
autre info :
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=l ... TA&cad=rja
Je devrais peut-être poster ce sujet dans un fil dédié ... ?
La SEAM s'est autoproclamée perceptrice des droits d'auteurs. Son exclusivité est contestée par les syndicats .
Il ne serait pas étonnant qu'elle englobe les œuvres soumises à droits d'auteurs avec les œuvres libres de droit dans les établissements publics et cela en outrepassant le droit civil, car je constate une grande confusion à ce sujet.
Cette confusion semble entretenue afin que nous achetions des partitions éditées sur papier.
si ces partitions étaient à un coût normal, encore, pourquoi pas, mais payer 7 € une simple page en N&B ! est-ce normal lorsque ça revient à 0,1 € ?
N'oublions pas que si les auteurs doivent être protégés, bien sûr, cela est limité dans le temps à 70 ans ... passé ce délais, l'œuvre appartient au public.
Lorsque une œuvre est du domaine public, il ne devrait pas être interdit de la diffuser librement.
n'oublions pas que nous avons droit et devoir de DIFFUSION de toute œuvre d'art.
Je me demande si la SEAM relayée par les autorités des établissements publics n'a pas semé la confusion afin de percevoir de l'argent sur tout ! inutile de préciser que ce pécule ne va pas à la musique, mais dans la poche d 'administratifs.
Je n ai rien trouvé sur le net qui parle de droits sur des œuvres du domaine public.
J ai même trouvé une charte que je communique ici.
http://group.europeana.eu/web/europeana ... charter-fr
http://group.europeana.eu/web/europeana ... charter-fr
Toutefois, Je cherche une confirmation sans appel du droit de diffuser, imprimer, utiliser toute partition dès lors qu'elle est du domaine public.
D'autant plus lorsqu'elle provient d'un éditeur qui la diffuse gratuitement sur le net.
Quant à aller jusqu'à à fouiller les profs et les élèves dans les conservatoires !!!
Quelle honte ! et atteinte à la liberté citoyenne !
il faudrait alors venir avec la police et avoir un soupçon fondé et une plainte concernant la personne incriminée, sinon c'est un sérieux abus du droit des personnes.
Refusons de nous y soumettre !
Car :
Constater une utilisation frauduleuse de partitions sur le pupitre, c'est une chose mais fouiller dans les affaires des personnes civiles en est une autre.
Je connais des professeurs qui se sont opposés à ce que leur armoire soit ouverte pour un contrôle (comme s'ils cachaient des armes !)...cette armoire leur est personnelle et contient des choses privées...attention certains conservatoires disent que cette armoire leur appartient et qu'elle n'est que prêtée aux professeurs... !
je conseille alors de la laisser ouverte ! et d'en mettre une privée dans sa salle de cours !
D'autre part :
Avoir des copies de partitions dans sa mallette n'est pas une constatation d'utilisation.
Sachez le. Cela peut être des copies réservées à un usage personnel, chez soi. Et votre cartable/mallette/ sac/ porte document ...etc ...ce sont des affaires privées !
La SEAM n'a pas le droit de vous les ouvrir !
Le transport n est pas une utilisation.
Attention, la SEAM outrepasse le droit !
C'est pourquoi, je cherche une publication qui affirme le droit d'utiliser en conservatoire toute photocopie dès lors que l'œuvre n'est plus du domaine privé ...
Merci !
edit :
j'ai trouvé ceci :
http://www.gitton.net/reprographie.htm
La SEAM a donc signé un accord avec les ministères des établissements qui concerne ces établissements et La SEAM perçoit des droits indistinctement sur les œuvres public ou protégées...
C'est disons un "forfait" ...
Toutefois il faut savoir que cet accord concerne les signataires et seulement eux !
ainsi, un élève a le droit de posséder des photocopies des partitions du domaine public...et les droits des éditeurs ne sont que soumis aux droits des auteurs...
Ps aux administrateurs du forum : vous pouvez mettre peut-être cette discussion sur un fil dédié ?
merci
autre info :
http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=l ... TA&cad=rja
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Re: Etude Speciale n°8 de Mazas
bonjour,
j'ai eu confirmation par le cabinet d'avocat spécialisé cité en amont (GITTON) :
Les partitions des œuvres du domaine public sont totalement libres de reprographie.
La fouille des agent SEAM est illégale. Ils ne peuvent que constater ce qui est sur le pupitre.... et on peut toujours dire que ce n'est pas notre partition ... mais une partition "oubliée" par on ne sait qui !!!
Pourquoi adopter une telle attitude ?
Parce que la SEAM s'est octroyé des droits indus pour nous ponctionner au profit des éditeurs et non pas des auteurs.
La SEAM propose une convention dite « ECOLE DE MUSIQUE » pour la reprographie de une à trente pages par élève et par an d’extraits d’œuvres imprimées de son répertoire (Les œuvres des catalogues de ses membres). (selon les établissements la convention peut varier) ...
mais :
la SEAM perçoit indistinctement, sur le fondement d'un acte dit "convention Ecoles de musique", des redevances sur les œuvres du domaine protégé comme sur les œuvres du domaine public.
ceci est illégal et constitue un abus.
je cite la réponse du cabinet d'avocats :
"La SEAM n’a rien à revendiquer sur l’exploitation de telles œuvres. Rappelons que la perception de droits indus est susceptible de constituer le délit de concussion."
Donc à nous de faire respecter la loi lorsque nous y sommes confrontés.
j'ai eu confirmation par le cabinet d'avocat spécialisé cité en amont (GITTON) :
Les partitions des œuvres du domaine public sont totalement libres de reprographie.
La fouille des agent SEAM est illégale. Ils ne peuvent que constater ce qui est sur le pupitre.... et on peut toujours dire que ce n'est pas notre partition ... mais une partition "oubliée" par on ne sait qui !!!
Pourquoi adopter une telle attitude ?
Parce que la SEAM s'est octroyé des droits indus pour nous ponctionner au profit des éditeurs et non pas des auteurs.
La SEAM propose une convention dite « ECOLE DE MUSIQUE » pour la reprographie de une à trente pages par élève et par an d’extraits d’œuvres imprimées de son répertoire (Les œuvres des catalogues de ses membres). (selon les établissements la convention peut varier) ...
mais :
la SEAM perçoit indistinctement, sur le fondement d'un acte dit "convention Ecoles de musique", des redevances sur les œuvres du domaine protégé comme sur les œuvres du domaine public.
ceci est illégal et constitue un abus.
je cite la réponse du cabinet d'avocats :
"La SEAM n’a rien à revendiquer sur l’exploitation de telles œuvres. Rappelons que la perception de droits indus est susceptible de constituer le délit de concussion."
Donc à nous de faire respecter la loi lorsque nous y sommes confrontés.