Voilà ce post commence par une citation.Nathan Hardenberg a écrit :et j'ai dû recopier tous les doigtés (que je photocopierai )
1) parce que c'est un peu pour répondre à la demande pressante de ce boulimique de Nathan que je poste,
2) parce que cette question me titille quand même, que je note beaucoup de doigtés sur mes partitions et que je suis géné lorsque j'utilise la partition de quelqu'un d'autre et que j'aimerais pouvoir m'appuyer sur des règles ou au moins des expériences concernant les doigtés implicites.
en ce qui concerne la notation des doigtés sur les partitions, les besoins ne sont pas les mêmes d'un violoniste à l'autre, d'une pratique à l'autre voire d'une période à l'autre, je m'explique :
- je trouve que les musiciens d'orchestre notent généralement peu de doigtés sur leurs partitions
- il me semble que la pratique est beaucoup plus répandue en musique de chambre où l'homogénéité des couleurs et des timbres est primordiale.
- une partition du XXème est plus difficile (ou moins évidente) et réclame plus de repères qu'une de la période baroque ou classique.
Quelle est, pour des musiciens professionnels ou en devenir (solistes, chambristes ou musiciens d'orchestre), la part implicite (non notée) dans une partition d'orchestre, une partition de musique de chambre (quatuor à cordes par ex.) ou même la partition de travail d'un concerto appris par coeur ? Peut-on en tirer des conclusions ?