http://art.and.facts.site.free.fr/Site/ ... risme.html
et ça...
http://www.roland-collection.com/roland ... /fr_15.htm

C'est vrai qu'il y a des choses superbes, mais on y trouve aussi du moins "génial"yodeyma a écrit :Vous en connaissez des oeuvres dit donc, je trouve ça fascinant , c'est vraiment un domaine merveilleux
oui, oui, Luce!la vache, monumentalous, effectivement... mais on dirait quand même des enormes... ok ok, j'arrête
je comprends, après tout c'est une question de gôut...Pour Ernesto Euuh... bof quoi!
Je te rassure, je n'ai pas QUE un humour de poissonnièreluz a écrit :oui, oui, Luce!la vache, monumentalous, effectivement... mais on dirait quand même des enormes... ok ok, j'arrête! on dirait des énormes ........
. Je pense que tu n'est pas la seule à le remarquer!...
ce cher ernesto est un sacré cabotin..
Le radeau de la Méduse est de Géricault. D'ailleurs, je te conseille de voir les études qu'il a faite pour ce tableau qui sont vraiment spéctaculaires, certaines le sont même plus que le travail fini, au niveau de l'intensité des sentiments. Ce style de tableau tragique est une bonne manère de peindre toute la diversité des sentiments humains face à un même évenement, regarde et tu verras qu'ils réagissent tous (ou presque, je ne l'ai pas devant moi là) différemment. Et tu peux faire la même chose sur une quantité industrielle d'oeuvre : Michel-Ange, Delacroix, Poussin...D a écrit : Pour ce qui est du tableau préféré, heu...... j'aime bien "Le radeaux de la Méduse" (Eugène Delacroix), peinture qui relate assez bien ce tragique évènement.
http://fr.groups.yahoo.com/group/Le_luth/message/8143Oui, bravo, Roger, le thème de ces peintures énigmatiques est bien le sort pathétique des "enfants perdus" rappel: "Vers le milieu du 16 ème siècle, l'arquebuse prit plus d'importance, et il était coutume d'avoir 4 rangs d'arquebusiers entrainés à s'avancer, à faire feu, puis à se retirer pour recharger."
" Lorsque l'ordre d'avancer était donné une ligne de fantassin était placée à l'avant du carré.Ils étaient connus sous le nom d'Enfants perdus, composés de volontaires, de prisonniers espérant leur rachat, ou d'infortunés tirés au hasard. Leur tâche était d'avancer au devant du carré avec leurs piques et épées à deux mains, écartant l'ennemi pour permettre à leurs camarades de s'enfoncer dans la brèche."
" Pour que les enfants perdus songent à leur vie en péril, l'étoffe rouge,"drapeau de sang", était dressée dans leur rang."
" Les enfants perdus étaient souvent distingués par la plume blanche qu'ils portaient à leur béret."
retour aux peintures si énigmatiques du Valentin: indices (si il en fallait) qui devaient "faire sens" pour un spectateur du XVIIème-siècle !!!
-la Plume blanche au béret,
-l'étoffe rouge
-l'angoisse du lendemain (comme on les comprend)
La fantaisie de J. Dowland qui évoque ce thème est bien la Forlorn Hope Fancy ("forlorn hoop" devenu "forlone hope" est la traduction en Anglo-Flamand du terme d'"enfants perdus") .
Bien sûr, comme le soulignait Michel, derrière cette lecture au premier degré, il y a une interrogation philosophique plus générale sur le sort et la destinée humaine, c'est certain, donc cette interprétation concerne aussi la pièce de Dowland, et est de nature à enrichir notre interprétation de certaines pièces à thème sur notre cher Luth si noble et expressif...
Bonnes vacances à tous
Fr@nçois