Yep, les tourneurs de pages, c'est assez rare. Dans les orchestres on est sougent à 2 pa rpupitres, donc il y en a qui continue de jouer, et l'autre qui tourne la page. Et comme le dit Solvent, quand la partition ne "s'arrête" pas entre les deux pages, il faut connaà®tre la fin de la page et le début de la page suivante par coeur, mais en général ça se fait tout seul!
<!--QuoteBegin-Trez@+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (Trez@)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->On apprends généralement un morceau quand on doit le jouer en public.
Pourquoi ? Parce que cela fait déjà meilleur impression, et quand tu joue en public par coeur tu n'es pas ancrée dans la partition et tu laisse plus ton feeling s'exprimer.[/quote]
+1
<!--QuoteBegin-moi+--></div><table border='0' align='center' width='95%' cellpadding='3' cellspacing='1'><tr><td>
QUOTE (moi)</td></tr><tr><td id='QUOTE'><!--QuoteEBegin-->mes doigts sont encore un peu maladroits et que la vitesse à laquelle je l'ai joué était trop importante pour moi donc pas de maitrise donc plantage avec le stress en plus = ph34r.gif blink.gif wacko.gif[/quote]
A l'époque (lointaine) où je faisais encore du classique en public, si le morceau était un poil rapide pour mes capacités, mon prof avait un truc qui a toujours marché: ne jamais jouer les passages rapides au tempo réel pendant le travail, mais beaucoup plus lentement. A côté on travaillait la virtuosité sur d'autres exercices, et il ne me faisait faire les traits à tempo réel qu'une semaine avant. C'était hyper efficace
