le-violon.org

Je prendrais bien le modèle à 80€ pour décorer ma cheminée

Malkichay a écrit :On retrouve les mêmes ici gratos !!

Ouais mais faut habiter Paris pour pouvoir en profiter...

A Marseille, on les trouve dans les rues, pas besoin de se déplacer...



C'est beau, le Sud...

L'image n'apparaît pas...
Mais c'est beau quand même le sud...

Nan, mais il fait référence à la grève qui sévit dans Marseille dpeuis qqs temps déjà, avec tous les détritus dans la rue mdrr ...

Ah oui c'est bon... mais à mon avis ces violons-là sonnent quand même mieux!

Malkichay a écrit :A Marseille, on les trouve dans les rues, pas besoin de se déplacer...



C'est beau, le Sud...

parce que tu penses sincèrement qu'il n'y a qu'à Marseille qu'on voit autant de cageots dans les rues ????

Aïeu !! tapez plus ! ça fait mal !

isabelg a écrit :L'image n'apparaît pas...
Mais c'est beau quand même le sud...

l'innocence incarnée....
merci Isa

M. Malchikay.
Votre réaction à mon post est déconcertante.
Aimer à ce point donner son avis sur tout (y-compris sur ce qu'on est fier d'ignorer) tout en prêchant le dédain me semble bien regrettable. Je débute au violon, ce qui me faisait croire que les violonistes étaient aussi nobles que leur instrument. Je continue de penser que c'est le cas de la plupart.
Pourquoi pousser le déni jusqu'à l'insulte ? Des études scientifiques ratées ? une expérience d'enseignant douloureuse ?
Quoi qu'il en soit, de Pythagore à Pierre Boulez, en passant par Bach, Messiaen et Xenakis, beaucoup de musiciens avaient une approche scientifique de leur art. Et je maintiens, contre tout les obscurantismes, que l'expérience des sciences aiderait quiconque à apprivoiser la violon.
Je finis par une citation du 4e de couverture de l'ouvrage de S. Cordier, Piano bien tempéré et justesse orchestrale : « La chance de Serge Cordier est sans doute d'être au carrefour de plusieurs cultures. Il possède en effet, outre la solide culture scientifique nécessaire, la culture artistique du pianiste et du professeur de musique, la culture historique du musicologue, enfin la culture d'oreille très spécialisée de l'accordeur professionnel. Cette rencontre lui a permis, à partir de l'observation attentive du fait musical et après une longue et patiente réflexion, d'élucider la plupart des énigmes posées par le problème de la justesse. »

Si le problème de la justesse est une énigme au piano, n'est-elle pas souvent un abysse au violon ?
Bref, à traiter les autres d'ânes, il faut faire très attention à ne pas passer soi-même pour un idiot...
C'est dommage.

M. Malchikay.

Essaie encore...
Allez, pas de "Monsieur" entre nous. Appelle-moi Malki...