Publié : mar. 18 janv. 2005 18:14
Bonjour,
à€ l'image de beaucoup sur ce site j'ai commencé le violon adulte (il y a 2 ans), ayant du gâcher mon enfance sur un piano.
Je me reconnais dans de nombreux messages: les regrets de ne pas avoir connu cet instrument enfant, la honte, les soupirs.
On laisse passer le temps, et plus il passe, plus on se rend compte que ces vies où on réussit, où on se trouve, ces vies-là , ce sont celles qu'on s'invente, pas celles qu'on vit.
Adieu violon et - à quoi bon ?
Pour cette raison je ne remercierai jamais assez le saint homme d'entre nous qui a inventé le coup-de-pied au c#@. Paradoxalement il ne fait que du bien.
J'ai compris il y a 2 ans qu'il n'était trop tard que lorsqu'on l'avait décidé et je retiendrai toujours ceci : les rendez-vous les plus important n'ont ni date ni lieu. Nous avions tous rendez-vous avec un violon. Peu importe où, quand.
Je suis heureux d'avoir trouvé ce forum, j'ai passé de bons moments à lire vos messages.
merci de m'avoir lu, au plaisir de vous lire,
cordialement,
Bélysaire.
à€ l'image de beaucoup sur ce site j'ai commencé le violon adulte (il y a 2 ans), ayant du gâcher mon enfance sur un piano.
Je me reconnais dans de nombreux messages: les regrets de ne pas avoir connu cet instrument enfant, la honte, les soupirs.
On laisse passer le temps, et plus il passe, plus on se rend compte que ces vies où on réussit, où on se trouve, ces vies-là , ce sont celles qu'on s'invente, pas celles qu'on vit.
Adieu violon et - à quoi bon ?
Pour cette raison je ne remercierai jamais assez le saint homme d'entre nous qui a inventé le coup-de-pied au c#@. Paradoxalement il ne fait que du bien.
J'ai compris il y a 2 ans qu'il n'était trop tard que lorsqu'on l'avait décidé et je retiendrai toujours ceci : les rendez-vous les plus important n'ont ni date ni lieu. Nous avions tous rendez-vous avec un violon. Peu importe où, quand.
Je suis heureux d'avoir trouvé ce forum, j'ai passé de bons moments à lire vos messages.
merci de m'avoir lu, au plaisir de vous lire,
cordialement,
Bélysaire.