Vous voulez commencer le violon, vous cherchez l'instrument adéquat, vous vous posez des questions sur la fabrication de votre instrument favori...C'est ici !
Sauf erreur de ma part , j'ai à peu près le même montage (violon sans coins)...en regardant bien, le manche est encastré sur quelques millimètres..le tasseau du haut est juste accolé..et indépendant...les interstices verticaux sont comblés par un fin flipot..
si on me dit comment mettre une photo sur le forum..je vous le montrerai..
beaucoup des question que tu poses , ont déja des réponses et il suffit d'utiliser la touche rechercher pour trouver la réponse ou de regarder cinq lignes plus bas que tes questions viewtopic.php?f=19&t=7108
En attendant, mon violon s'est trouvé une nouvelle vocation provisoire. Je vais profiter d'avoir un violon "ouvert" sous la main pour faire une étude des méthodes de régulation de l'hygrométrie, étant peu convaincue des bienfaits des humidificateurs de type dampit. Je vous tiendrai au courant des résultats!
En tout cas c'est important d'humidifier son instrument, je parle par experience personnelle mais aussi en ayant vu (surtout entendu) des grandes differences avant et après humidifications.
En effet ça me semble très important, non seulement pour la conservation de l'instrument mais pour la sonorité. Mon violon est extrêmement sensible aux changements d'hygrométrie, il se métamorphose complètement. Mais je n'apprécie pas trop le caractère aléatoire de la régulation du taux d'humidité avec les dampit et autres: le taux d'HR fait des bonds selon que le propriétaire du violon pense ou ne pense pas à réhumidifier son gadget (et je voudrais savoir de quelle ampleur), et je pense que c'est finalement pire pour le bois (très fin, donc accusant beaucoup plus rapidement les chocs hygrothermiques) que de le garder stable, même à un taux d'HR bas. Je me demande également si le contact direct du dampit très humide avec le bois ne provoque pas de moisissures ponctuelles internes (ce qui n'est bon ni pour le violon ni pour le violoniste qui a le nez sur son violon), les conditions étant toutes réunies pour cela. Sans compter l'usure et les risques provoqués par le passage quotidien de l'engin par l'ouïe (mais ça c'est un autre problème)... Bref, je vais faire des tests en mesurant et comparant ce qui se passe dans le violon (avec un data-logger enfermé dedans), à l'extérieur du violon dans la boîte, à l'extérieur de la boîte, avec différentes méthodes d'humidification et de stabilisation.
Reprise des opérations: retrait de la touche pour analyser la situation... J'ai enfin compris ce que je n'avais pas compris aux explications de jépadçon quant au montage du manche!